« J'ai trop le désir qu'on respecte ma liberté pour ne pas respecter celle des autres. »
« L'absence ou le mépris du programme n'est pas nécessairement un signe de totalitarisme. »
« Les mots qu'on dit comptent si peu, quand le corps entier et l'âme les contredisent. »
« Ils (les critiques) sont comme les eunuques d'un harem. Ils sont là tous les soirs, ils assistent à la chose tous les soirs, ils constatent comment la chose doit se faire, mais ils sont incapables de la faire eux-mêmes. »
« ... Ce qui compte, ce n'est pas ce que fait quelqu'un, c'est quelqu'un. Sa présence. »
« Les mots «faire l'amour» ont une séduction à eux, très verbale, en les séparant de leur sens. Ce terme de «faire», matériel et positif, uni à cette abstraction poétique du mot «amour», m'enchantait. »
« La jalousie est la même pour un cultivateur de la Gironde que pour un intellectuel parisien. »
« Tant qu'on croit en l'homme, vous savez, on peut croire en Dieu, mais si on n'y croit plus... Si on voit une bête à sa place occupée à en faire souffrir d'autres... »
« J'ai trop le désir qu'on respecte la mienne pour ne pas respecter celle des autres. »
« Aimer, ce n'est pas aimer bien, c'est surtout comprendre. »
« Nous sommes libres de changer le monde et d'y introduire de la nouveauté. Sans cette liberté mentale de reconnaître ou de nier l'existence. Il n'y aurait aucune possibilité d'action. »
« C'est dans le vide de la pensée que s'inscrit le mal. »
« C'est la nuit qu'il est beau de croire à la lumière. »
« Le monde réagit sur nous autant que nous réagissons sur lui. »