« Les faibles ne finissent jamais rien eux-mêmes, ils attendent toujours la fin. »
« Toute misère est à la mesure du rêve ou de l'ambition qu'elle trahit. »
« Mais c'est l'effort de toute une vie de faire connaître et honorer son vrai moi. »
« Toute écriture, qu'elle le veuille ou non, est politique. »
« L'esprit oublie toutes les souffrances quand le chagrin a des compagnons et que l'amitié le console. »
« Le départ, c'est souvent une pirouette pour s'échapper. Après coup, on trouve toutes sortes de bonnes raisons pour expliquer son geste, se justifier. »
« L'ignorance, comme le silence, est un refuge merveilleux où s'engouffrent toutes les rébellions, tous les dégoûts, toutes les protestations de la conscience. »
« Le socialisme est la forme moderne de la protestation qui, à toutes les époques d'activité intellectuelle, s'est élevée, plus ou moins vive, contre l'injuste répartition des avantages sociaux. »
« Toutes les tendances égoïstes qu'on trouve chez les hommes, le culte de soi et le mépris des autres, prennent leur source dans l'organisation actuelle des relations entre les hommes et les femmes. »
« La différence entre un bon et un mauvais architecte réside en ce que le mauvais succombe à toutes les tentations quand le bon leur tient tête. »
« La perversion, ça consiste à retourner toutes les valeurs et à appeler mal ce qui est bien ou noir ce qui est blanc. »
« Tu n'a peur de rien, tu n'as peur de personne. Sauf de toi-même. C'est la pire de toutes les peurs. »
« Toutes les tragédies que l'on peut imaginer reviennent à une seule et unique tragédie : l'écoulement du temps. »
« Une femme peut fort bien aimer deux hommes à la fois. On dirait que, toutes petites, elles ont appris à loucher du cœur. »