« Dans un objet où la nature Aura mis de beaux traits et la vive peinture Tous ces dons pourront moins pour rendre un cœur sensible Qu'un seul agrément invisible. »
« Le conte est difficile à croire ;Mais tant que dans le monde on aura des enfants,Des mères et des mères-grands,On en gardera la mémoire. »
« Maman, moi je suis ton amour, et Papa ton amoureux. »
« Maman, quand tu étais petite et que papa était petit, c'était qui mes parents ? »
« Le bonheur continu nous rend audacieux. »
« Bien est donc vrai qu'aux hommes misérables,Aveugles, imprudents, inquiets, variables, Pas n'appartient de faire des souhaits, Et que peu d'entre eux sont capables De bien user des dons que le Ciel leur a faits. »
« Comme on aime naturellement son semblable, cette mère était folle de sa fille aînée, et en même temps avait une aversion effroyable pour la cadette. »
« Pourquoi, Maman, quand tu as choisi Papa au magasin, tu l'as choisi plus petit que toi? »
« Je ne retournerais pas à l'école, on m'apprend des choses que je ne sais pas. »
« J'adore les biscuits aux bibittes au chocolat. »
« Regarde le beau lever de sommeil ! »
« On ne s'afflige point d'avoir beaucoup d'enfants, - Quand ils sont tous beaux, bien faits et bien grands, - Et d'un extérieur qui brille; - Mais si l'un d'eux est faible ou ne dit mot, - On le méprise, on le raille, on le pille. »
« Les hommes, pour souffrir sont bien nés ! »
« Moi, mon père est PEANUT D'AVION. »