« Je pensais que le cyber-espace ne serait là que dans cinquante ans. Mais ce qui était pour dans cinquante ans était déjà là... Je n'en avais simplement pas conscience. »
« En fumant, vous abrégez votre vie, me dit-on. Je fume depuis l'âge de dix-huit ans, j'en ai soixante-cinq, si je n'avais pas fumé, j'en aurais soixante-dix. Je serais bien avancé ! »
« Mes peintures ne correspondent jamais à ce que j'avais prévu, mais je ne suis jamais surpris. »
« Je n'avais qu'une seule crainte, avec ces pensées, c'était de paraître sympathique. »
« Vis chaque jour comme si tu avais vécu toute ton existence précisément pour ce jour-là. »
« Pendant quatre-vingts ans tu te sens en danger de mort et un jour tu avais raison, tu meurs. »
« Je n'ai jamais dans ma vie fait autre chose que travailler pour me rendre malade quand je jouissais de ma santé, et travailler pour regagner ma santé quand je l'avais perdue. »
« Plus ma vive imagination m'enflammait le sang, plus j'avais l'air d'un amant transi... »
« Le fait de fumer m'a sauvé la vie. Chaque fois que je vais mal, le médecin me supprime le cigare. Et je guéris ! Où en serais-je si je n'avais pas fumé le cigare. »
« - Pourquoi ai-je toujours adoré ta mère ? C'est que je n'avais jamais le temps de penser à elle. »
« ... Je n'avais pas l'impression de travailler. Plus j'ai envie que quelque chose soit fait, et moins j'appelle ça du travail. »
« "J'aurais bientôt quitté les plaisirs, disent-ils, si j'avais la foi." - Et moi, je vous dis : "Vous auriez bientôt la foi, si vous aviez quitté les plaisirs." »
« J'avais vingt ans, une folle maîtresse, - De francs amis et l'amour des chansons. »
« La libération vient le jour où l'on peut dire : "J'ai fait ce que j'avais à faire, j'ai reçu ce que j'avais à recevoir, j'ai donné ce que j'avais à donner." »