« Les plus nobles conquêtes sont celles des cœurs et des affections. »
« Les censures faiblissent, les interdits craquent. On ne sait plus à quelle répression se vouer pour être heureux. »
« Un homme ne doit jamais rougir d'avouer qu'il a tort ; car, en faisant cet aveu, il prouve qu'il est plus sage aujourd'hui qu'hier. »
« Aussi sûr, aussi dévoué qu'il puisse être, un compagnon d'humeur inquiète et qui geint à tout propos est l'ennemi de notre tranquillité. »
« La vie n'a de prix que par le dévouement à la vérité et au bien. »
« Il ne faut pas mépriser les bienfaits de vivre, même si l'on est sevré de ses plus grandes affections. »
« Les Anglais sont un peuple d'une ténacité presque surhumaine. Ils ne s'avouent jamais vaincus. Et ils finissent toujours par ne pas l'être. »
« Hommes et citoyens, nous avons dit plus d'une fois dans notre orgueil : -Le XVIIIe siècle a proclamé le droit de l'homme ; le XIXe proclamera le droit de la femme ;-mais il faut l'avouer, citoyens, nous ne nous sommes point hâtés... »
« La plupart des affections ne sont que des habitudes ou des devoirs qu'on n'a pas le courage de briser. »
« Il y a dans le sentiment maternel je ne sais quelle immensité qui permet de ne rien enlever aux autres affections. »
« Les hommes sentent dans leur cœur qu'ils sont un même peuple lorsqu'ils ont une communauté d'idées, d'intérêts, d'affections, de souvenirs et d'espérances. »
« Les vieillards ont besoin d'affections comme de soleil. C'est de la chaleur. »
« On doit se dévouer à l'intérêt public. »
« Nos idées morales naturelles et frustes, au lieu de fournir un remède à la partialité de nos affections, s'accordent plutôt avec cette partialité et lui donnent un supplément de force et d'influence. »