« Le noeud papillon vit plus de vingt-quatre heures. »
« Si la solitude sépare, elle tranche bien des liens qu'on ne coupe qu'à regret, mais elle permet de plonger des racines dans ce qui est essentiel. »
« La saturation, il y a un moment où cela vient dans ce repas qu'on appelle vie : il ne faut qu'une goutte alors, pour faire déborder la coupe du dégoût. »
« Heureux les chauves, qui sont les seuls à ne plus perdre leurs cheveux. »
« Les braves gens ne savent pas ce qu'il en coûte de temps et de peine pour apprendre à lire. J'ai travaillé à cela quatre-vingts ans, et je ne peux pas dire encore que j'y sois arrivé. »
« Il y a quatre types idéals : le crétin, l'imbécile, le stupide et le fou. Le normal, c'est le mélange équilibré des quatre. »
« Il y a quatre femmes pour un homme sur terre. Qui a piqué ma part ? »
« Comment se fait-il que les riches n'aient que quatre roues à leurs voitures, comme les pauvres ? »
« Si les hommes savaient ce qu'ils disent les uns des autres, il n'y aurait pas quatre amis dans le monde. »
« La mort est un petit oiseau qui chaque jour vient se désaltérer dans ta coupe de vin. »
« Il y aura plus de joie dans le ciel pour un seul pécheur qui se repent que pour quatre-vingt-dix-neuf justes qui persévèrent. »
« J'ai remarqué qu'à partir de quatre-vingts ans on mourait beaucoup. »
« Ne coupe pas l'arbre qui te donne de l'ombre. »
« La photographie, c'est la vérité et le cinéma, c'est vingt-quatre fois la vérité par seconde... »