« Chassez le naturel avec une fourche, il reviendra toujours en courant. »
« Les peintres et les poètes ont toujours eu le droit de tout oser. »
« Commencer, c'est avoir à moitié fini. »
« Pourquoi l'amour ? L'amitié n'apporte-t-elle pas autant, sans en avoir les innombrables défauts. »
« La pâle mort frappe d'un pied indifférent les masures des pauvres et les palais des rois. »
« Souvent même la crainte de la mort pénètre les humains d'une telle haine de la vie qu'ils se donnent volontairement la mort dans l'excès de leur détresse, oubliant que la source de leurs peines est cette crainte elle-même. »
« Hélas! j'aurai passé près d'elle inaperçu, - Toujours à ses côtés, et pourtant solitaire, - Et j'aurai jusqu'au bout fait mon temps sur la terre, - N'osant rien demander et n'ayant rien reçu. »
« Courir au-delà des mers, c'est changer de climat, mais non changer de cœur. »
« L'accent, c'est pas dans la gorge des uns, c'est dans l'oreille des autres ! »
« Les empires ne périssent pas sous les coups de leurs ennemis mais par leur propre épuisement et par la démission des forces qui les soutiennent. Il en va de même de nos amours et de notre vie. »
« La mort semble la seule route possible pour retrouver la dignité perdue. Le retour du pays d'un reflet. »
« Il est préférable de mourir de mort naturelle que d'ennui. »
« L'hiver. Le mot seul possède une assonance antipathique. »
« Je déteste faire le ménage. Vous faites le lit, la vaisselle et six mois après, tout est à recommencer. »