« C'est la vie, ça... Tous les jours des innocents meurent, sans savoir pourquoi... »
« Les femmes qui nous aiment pour notre argent sont bien agréables: on sait au moins ce qu'il faut faire pour les garder. »
« Mesdames: si votre poitrine tombe... Posez-la par terre. »
« Fini la fête, reste la vie. La vie est bête. Tant pis. »
« Je suis attaché à l'argent. Mais l'argent n'est pas très attaché à moi. »
« La télévision est une chose formidable. Quand on ferme les yeux, on croit entendre la radio! »
« C'est dur, d'aimer, quand on a beaucoup à faire... Mais c'est plus difficile de se séparer, quand on a beaucoup à se dire. »
« Ce n'est pas en mangeant que l'on devient forgeron. Même si on ne veut pas devenir forgeron. »
« Je n'envisage mon avenir que quand il est passé. »
« Les rats nous observent dans l'ombre de leurs égouts. Ils se lissent les moustaches de joie car ils n'ignorent pas que notre civilisation fermera bientôt son guichet. »
« Votre main droite sait certainement ce que fait votre main gauche, mais elle ne le dit pas. Louons sa discrétion. »
« Le nombre des différences, soit physiques, soit morales, qui se remarquent entre l'homme et les animaux mamellés, est beaucoup plus grand que la somme de leurs ressemblances. »
« Je suspecte la mort d'être infiniment plus fidèle qu'une chienne, qu'une brosse à dents ou qu'une femme. »
« Les chevaux barbas ou de Barbarie diffèrent des arabes non par la taille, qui est à peu près la même, mais par la croupe, qui est un peu plus longue... On distingue facilement un cheval anglais d'un barba par les oreilles, qui sont plus longues. »