« Si tu avances, tu meurs ! Si tu recules, tu meurs ! Alors, pourquoi reculer ? »
« Je meurs en adorant dieu, en aimant mes amis, en ne détestant pas mes ennemis, en haissant la superstition. »
« Pourquoi chercher désespérément la clef du bonheur alors que, de toute façon, la serrure n'a jamais existé ? »
« A force d'entendre parler de moi, je meurs d'envie de me connaître. »
« Pourquoi apprendre alors que l'ignorance est instantanée ? »
« Souffre, meurs ou guéris ; mais surtout vis jusqu'à ta dernière heure. »
« Pourquoi les hommes ont-ils peur de la mort, alors que l'on meurt toutes les nuits ? »
« Pourquoi une femme qui a plein d'hommes est une salope ? Et pourquoi un homme qui a plein de femmes c'est pas moi ? »
« Si le travail c'est l'opium du peuple, alors je ne veux pas finir drogué... »
« La réputation qu'on nous prête ne change rien à ce que nous sommes en réalité. Voilà pourquoi il faut mépriser les jugements plus ou moins faux que l'on porte sur nous. »
« Pourquoi les architectes ne songent-ils pas, pour diminuer la fatigue, à limiter la hauteur des marches au fur et à mesure qu'on monte un escalier ? »
« Pourquoi les femmes qui coûtent le plus cher sont-elles celles qui ne valent pas grand-chose ? »
« Pourquoi nous haïr ? Nous sommes solidaires, emportés par la même planète, équipage d'un même navire. »
« On a aussi peu de liberté maintenant qu'il y a vingt ans : faire l'amour était alors interdit aux jeunes filles ; maintenant c'est presque devenu obligatoire. Les tabous sont les mêmes. »