« La vraie république : aux hommes leurs droits et rien de plus, aux femmes leurs droits et rien de moins. »
« La mort. L'horreur absolue de la non-existence. La mort ne rentre dans aucun schéma. Il n'y a pas d'explication à la mort. Elle entre, elle vous arrête au milieu d'une phrase : "Non, c'est fini" et claque la porte. »
« L'amour et la tolérance sont la seule réponse au problème de la vie. Ce précepte, très simple, et infiniment difficile à appliquer, peut être accepté, compris par quiconque, croyant ou non-croyant. C'est la seule voie. »
« Faire l'amour, en soi, ne libère pas les femmes. La question, c'est de savoir de quelle sexualité les femmes doivent se libérer pour la vivre bien. »
« La vie est une larme qui coule sur la peau et qui s'en va mourir, épuisée, sur le sol de la destinée. »
« Je te laisse libre d'être toi-même, d'avoir tes propres idées, de vivre selon tes goûts, de suivre, tes intuitions, de te conduire comme tu l'entends. »
« La philosophie de l'artillerie : Cogito ergo boum. »
« Le dernier refuge de la pensée gnostique, ce sont les fantasmes de la schizophrénie. »
« Le plus beau chez un homme viril c'est un brin de fémininité ; le plus beau chez une femme féminine c'est un peu de masculinité. »
« On écrit pour rendre justice à la vérité. »
« Il faut des moments de calme pour observer sa vie ouvertement et honnêtement... Passer ces moments seuls donne à ton esprit l'opportunité de se renouveler et de créer de l'ordre. »
« Interpréter, c'est appauvrir, diminuer l'image du monde, lui substituer un monde factice de "significations". »
« L'écrivain est soit un ermite, soit un délinquant guidé par sa culpabilité, soit les deux... Souvent les deux. »
« Se pencher sur le sommeil a de quoi émerveiller. Se pencher sur les lits a de quoi vous faire peur. »