« Dans les démocraties, chaque génération est un peuple nouveau. »
« Chaque roman est un déicide secret, un assassinat symbolique de la réalité. »
« La santé se mesure à l'amour du matin et du printemps. »
« C'est étrange que quand vous êtes seul et que vous lisez quelque chose de drôle, cela ne vous fait pas rire, mais dès que vous êtes avec quelqu'un vous, vous riez. »
« Il ne faut écrire qu'au moment où chaque fois que tu trempes ta plume dans l'encre un morceau de ta chair reste dans l'encrier. »
« Je ne pourrai jamais m'amuser les dimanches, car je n'arrive pas à oublier que le lendemain j'ai école. »
« Le travail est si bien divisé que l'un travaille et que l'autre récolte. »
« En voyant le dimanche matin les gens jouer au tiercé on se met à penser que l'homme est la moins noble conquête du cheval. »
« On n'est pas forcément le père de quelqu'un mais on n'est jamais le fils de personne. »
« Rabattons notre suffisance, critiquons sans relâche nos propres défauts, tout comme, chaque jour, nous nous lavons la figure pour rester propres et balayons pour enlever la poussière. »
« L'amour, c'est attendre quelqu'un depuis toujours, une aventure, c'est attendre quelqu'un depuis qu'on le connaît. »
« Quelqu'un dont la conduite est guidée par un désir de récompense n'est pas sincère ! On ne peut mener sa vie comme on gère une boutique. »
« La nature à chaque instant s'occupe de votre bien-être. Elle n'a pas d'autre fin. Ne lui résistez pas. »
« Le travail, c'est ce qu'on ne peut pas s'arrêter de faire quand on a envie de s'arrêter de le faire. »