« Depuis que j'ai cessé de fumer, je vis étrangement... Où est-il le temps où je pouvais m'accrocher pas à pas, minute après minute, à ma cigarette? »
« La mort n'existe pas. Surtout pas la mort. Le mot ne devrait pas exister car il désigne ce qui n'est pas. »
« La seule supériorité réelle de l'homme jaillit du sens de l'absurde qui le saisit quand il se réfléchit, quand il se demande ce qu'il est venu faire en ce monde. »
« La mort. C'est la perte totale, l'anéantissement définitif, irrésistible d'une conscience, le retrait absolu du mouvement. »
« Il semble bien difficile de vivre, parce qu'avec ou sans amour, le premier problème de l'homme demeure l'amour. »
« La grandeur serait-elle de découvrir que l'essentiel est insaisissable ? »
« Pourquoi appellent-ils intelligence toutes les limites de toutes les règles, tous les interdits de tous les codes ? Enorme et gigantesque constipation de tous les cerveaux ! »
« Se suicider c'est cesser d'avancer. C'est s'immobiliser. »
« La cigarette est la prière de notre temps. »
« Il y a la réalité. Puis il y a l'illusion. On se tient souvent juste entre les deux. »
« L'amour ne se sépare jamais de l'aventure amoureuse elle-même. »
« La chanson est expansion dans le passé, la photo finitude. La chanson est le sentiment heureux du temps, la photo son tragique. J'ai souvent pensé qu'on pourrait raconter toute sa vie seulement avec des chansons et des photos. »
« Désirer savoir est la forme même de la vie et de l'intelligence. »
« Il n'y a pas que le bonheur qui rend heureux. »