« Ecrire, c'est faire pleurer sans tendre un mouchoir. »
« La baise, c'est la vie. Fort de cette certitude qui me hante depuis que j'ai ma lucidité et du poil autour, je considère que la femme est un merveilleux cadeau. »
« Les chanteurs, dès qu'ils la bouclent, on les oublie. L'oreille est un conduit, rien n'y séjourne. »
« Je parle avec la pensée que je devrais me taire. Et je parle. »
« Les femmes détestent les hommes trop prévisibles, elles adorent un certain coefficient de surprise. »
« Chez nous les emmerdes, on les étire pour qu'elles fassent plus d'usage. »
« La prostitution marcherait moins bien si les hommes n'avaient pas besoin de se confier à tout prix. »
« La littérature, c'est le vol. Vous prenez un morceau ici, un autre là, vous les digérez, ils deviennent vôtres. »
« Les oeuvres littéraires sont comme les visages ou les empreintes digitales, il n'y en a pas deux identiques. La littérature, c'est le règne de la singularité. »
« Les livres ne sont pas une réponse à l'univers ni une explication du monde, mais chaque livre important est une grande question qui fait avancer le monde. »
« Un mot est un oiseau au milieu d'une page. C'est l'infini. »
« Chez nous, il n'y a que l'ancienneté qui paie. Seulement, ils vous catapultent à la retraite de plus en plus tôt. »
« Sans la croyance en l'homme aucun art n'existe. »
« Les hommes sont empêtrés dans leurs fantasmes comme des spaghettis dans du parmesan fondu. »