Gabrielle Roy (née le 22 mars 1909 à Saint-Boniface - 13 juillet 1983 à Québec) est une écrivaine canadienne francophone.
« Peut-être les lucioles ne vivent-elles que le temps de briller un instant d'un vif éclat. Comme nous tous d'ailleurs ! »
« Le talent que l'on a profusion ne console pas de celui que l'on préférerait. »
« Quand on aime la vie, c'est alors qu'elle même nous aime le plus, comme par un prodige d'entente. »
« Il y a quelque chose d'humiliant à être homme et à ne pas lutter contre le malheur. »
« Il ne faut pas vouloir dévorer la vie. »
« Tant que l'on n'a pas été contenu en un regard, a-t-on la vie ? A-t-on la vie si personne encore ne nous a aimé ? »
« C'est là ce qu'on appelle l'âge mûr de l'homme : vivre des provisions amassées en route. »
« Parce que meurt un peu tous les jours ce qui fait notre joie de vivre, on ne doit pas en détacher d'avance son cœur. »
« La servitude: C'est ça le téléphone. Il sonne: tu accours. Ou bien tu n'accours pas, mais tu te ronges les sangs de regrets ou de curiosité insatisfaite. »
« Il est difficile de définir les choses vraies. »
« Il ne faut jamais dire que l'espoir est mort. Ça ne meurt pas, l'espoir. »
« Les gens qui sourient ou se parlent tout seuls nous paraissent toujours avoir des pensées que nous aimerions partager. »
« On est puni par où on a désiré, toujours. »
« Presque tous les humains, au fond, sont nos amis, pourvu qu'on leur laisse la chance, qu'on se remette entre leurs mains et qu'on leur laisse voir le moindre signe d'amitié. »