Jean Guéhenno (né Marcel-Jules-Marie Guéhenno, le 25 mars 1890 à Fougères, mort le 22 septembre 1978 à Paris) est un écrivain et critique littéraire français.
« L'orgueil et la violence des forts ne cessent de recréer l'injustice. »
« ... Mais la mesure de notre dignité est sûrement de vouloir vivre dans la clarté... »
« Je définirais un professeur un homme qui pense mieux devant les autres, avec les autres et pour les autres, que seul et pour lui seul. »
« La rencontre que nous faisons du monde est l'occasion que nous avons de saisir l'éternel. »
« Les livres ne font que rendre ce qu'on leur donne. »
« Je connais maintenant la définition de la guerre: la guerre, c'est la mort des autres. On ne la laisse durer que parce que ce sont les autres qui la font et qui en meurent. »
« On ne pourrait pas vivre si on avait tout le cœur qu'il faut. On ne vit que parce qu'on est dur. »
« Encore une fois, penser à soi avec abstraction des choses naturelles, c'est ne penser à rien. »
« La résignation n'est point une sagesse, mais la dernière forme de l'inquiétude. »
« C'est l'extrême de la culture de savoir s'amuser avec soi. »
« Nos manques nous servent presque autant que nos biens. »
« Chacun de nous se promène avec bienveillance dans cette galerie de portraits de lui-même qu'est sa mémoire. »
« Chacun a son dictionnaire. »
« Toute vraie culture n'est qu'intérieure. »