Louise Maheux-Forcier est une écrivaine québécoise née à Montréal, le 9 juin 1929.
« Les objets n'ont pas d'âme ; ils ne sont secourables que selon leurs attributs. »
« L'amour ne se conclut pas, comme un marché. L'amour, c'est un oiseau. Imprévisible, fantasque. Fragile aussi, et périssable. Et cet oiseau, pourtant, d'un seul battement d'ailes, allège nos existences de tout le poids de l'absurdité. »
« L'amour c'est généreux, calme et détendu. Quelquefois cela dure, et quelquefois cela passe, mais au fond cela n'est jamais aussi grave qu'on le pense et il est très prétentieux de vouloir enfermer un homme et une femme dans un sentiment éternel. »
« L'amitié est une chose merveilleuse à partir du moment où l'on peut se taire ensemble sans malaise. »
« Ecrire exige tant de lucidité. Et sais-tu bien que la plupart du temps, ce sont des fous qui écrivent... »
« Le mensonge est plus mortel encore que la solitude. »
« La comédie humaine n'aurait pas lieu si chacun refusait de la jouer ! »
« Une seule enfance est supportable : la nôtre. »
« Nous ne savons pas tout de suite que l'amour meurt comme une saison. »
« Les miroirs n'ont pas d'intérêt, eux à mentir ! »
« Ce que les hommes apprécient le moins chez leur compagne : une impeccable femme de ménage ! »
« Les premiers mots du monde sont dans la vie d'une femme les premiers mots d'amour. »
« Blâmer ceux qui désertent c'est se blâmer soi-même de n'avoir pas su les retenir. »
« Le bruit fait taire la peine !... »