Pierre Jean Jouve est un écrivain, poète, romancier et critique français né à Arras le 11 octobre 1887 et mort à Paris le 8 janvier 1976.
« L'arbre se sauve en laissant tomber ses feuilles. »
« Incapable de transiger, je suis incapable de combattre. »
« L'arbre se sauve en faisant tomber ses feuilles. »
« Le peintre connaît une permanence, celle de l'émotion positive, de l'émerveillement. »
« Notre volonté souterraine n'a ni présent ni avenir ni passé et rien ne la distrait dans le bloc de sa permanence. »
« Je répugne à me lire dans les citations. »
« Le poète est un diseur de mots.... Le diseur de mots est celui qui, dans l'extrême veille, harponne un équivalent du rêve. »
« Le sang humain n'a qu'une manière de couler. »
« La fleur est le regard riant de la ruine. »
« Tout amour contient un abîme qui est le plaisir. »
« Rien ne s'accomplira sinon dans une absence. »
« Les joies des hommes sont aussi horribles que leurs douleurs. »
« L'art des fous peut nous toucher ; il ne nous enrichit que par ce que nous retrouvons en nous-mêmes de ses étrangetés. »
« Nous avons connaissance à présent de milliers de mondes à l'intérieur de l'homme, que toute l'oeuvre de l'homme avait été de cacher... »