« Dans le monde de l'hyper-communication, la communication entre les hommes est réduite à presque rien. »
« (...) Dans les équipes sportives, comme dans les pays, les individualités ne suffisent pas, il faut aussi l'esprit d'équipe. »
« Je veux un pays de solidarité et pas d'abandon. »
« Les vrais ennemis, ce sont le chômage, l'échec de l'éducation, l'exclusion, la pauvreté, les fins de mois difficile, l'inquiétude et le souci des familles. »
« Le temps n'est plus où les ministres claquaient du doigt, et ça obligeait tout le monde à changer. (...) Ce n'est pas au ministre de décider des méthodes de lecture. »
« (...) L'élection présidentielle, c'est la rencontre d'un homme et d'un pays, d'un homme et d'un peuple. »
« Les valeurs du verbe "être" sont supérieures aux valeurs du verbe "avoir". »
« Parmi les tâches que je considère comme faisant partie des missions du président de la République, il y a ceci : il lui revient de dire aux autres peuples de la planète que nous avons une responsabilité écologique en commun. »
« La présence de syndicats dans l'Education nationale est une chance et non un handicap pour le pays. Nous avons besoin d'interlocuteurs, il faut leur faire confiance, ne pas les humilier. »
« L'éducation, c'est la question-clé de l'avenir de la France (...). »
« Les étiquettes divisent et les valeurs rassemblent. »
« En démocratie, c'est la force des arguments qui compte. »
« Le rassemblement, ce n'est pas la mollesse, c'est la fermeté. »
« Il faut que notre pays se lance dans la lutte contre l'exclusion sociale, en multipliant le nombre d'emplois. »