« Ma patrie, c'est la langue française. »
« Ô envie, peste de la vie, prison des cœurs, ver immortel, chancre de l'âme et enfer des vivants : où est-ce que tu conduis les âmes qui se laissent emporter à ta rage ? »
« La joie est une brûlure qui ne se savoure pas. »
« Ce monde en lui même n'est pas raisonnable, c'est tout ce qu'on peut en dire. Mais ce qui est absurde, c'est la confrontation de cet irrationnel et de ce désir éperdu de clarté dont l'appel résonne au plus profond de l'homme. »
« On a déclaré qu'il fallait d'abord la justice et que, pour la liberté, on verrait après ; comme si des esclaves pouvaient jamais espérer obtenir la justice. »
« Nous vivons avec des idées qui, si nous les éprouvions vraiment, devraient bouleverser toute notre vie. »
« Un journal, c'est la conscience d'une nation. »
« Il n'y a pas de honte à préférer le bonheur. »
« L'homme est ainsi, il a deux faces ; il ne peut aimer sans s'aimer. »
« L'absurde est la notion essentielle et la première vérité. »
« Ce qu'on appelle raison de vivre est en même temps une excellente raison de mourir. »
« Créer, c'est vivre deux fois. »
« La pensée d'un homme est avant tout sa nostalgie. »
« L'intérêt est le grand motif de toutes les actions humaines. »