« Le temps passe vite quand les jours sont comptés. »
« La main destructive de l'homme n'épargne rien ; il tue pour se nourrir, il tue pour se vêtir, il tue pour attaquer, il tue pour se défendre, il tue pour s'instruire, il tue pour s'amuser, il tue pour tuer ; il a besoin de tout, et rien ne lui résiste. »
« La foi, c'est la vanité de croire qu'on est la créature d'un dieu. »
« Ouvrir les yeux est un antidote au désespoir. »
« Quand le cœur est le guide, même le plus vieux des guerriers fait plier le géant, mais il lui faut charger sa pirogue d'une cargaison de patience. »
« Jamais le christianisme, si vous y regardez de près, ne vous paraîtra plus sublime, plus digne de Dieu, et plus fait pour l'homme qu'à la guerre. »
« Le mot national est une étiquette qui falsifie un produit dans plus d'un cas. »
« Il y a dans la révolution française un caractère satanique qui la distingue de tout ce qu'on a vu et peut-être de tout ce qu'on verra. »
« Cul sur la selle, pensées au ciel. »
« Je préfère attraper un torticolis en visant trop haut que devenir bossue en regardant trop bas. »
« Le singe épargné par les crocodiles oublie trop vite que l'hippopotame lui a prêté son dos pour quitter la rivière. »
« L'ennui fait détester la campagne.Le besoin d'argent conduit à la ville. »
« Une bonne imitation est une nouvelle invention. »
« Ce ne sont point les hommes qui mènent la révolution, c'est la révolution qui emploie les hommes. »