« Il faut toujours subir pour choisir. »
« Qui maîtrisait les odeurs, maîtrisait le cœur de l'humanité. »
« On demande à tout le monde d'avoir un avis sur tout. Les vrais rebelles, je les débusque à la rubrique "sans opinion" des sondages. »
« On veut bien croire que le cerveau humain évolue, mais alors il y a des pays qui sont épargnés. »
« Etre en retard est le signe d'une âme négligente, être à l'heure celui d'une âme forte, être en avance est signe de pusillanimité. »
« La timidité, c'est un défaut terrible, ça masque toutes vos qualités... »
« Notre langage ne vaut rien pour décrire le monde des odeurs. »
« On devient parfois bizarre, en vieillissant, et l'on se raccroche aux lubies les plus aberrantes. »
« La violence est un écosystème. Un équilibre à moitié clos, incertain, qui a besoin d'un oxygène particulier, et d'une spirale de conditions particulières. »
« Porter la liberté est la seule charge qui redresse bien le dos. »
« Et si on créait une fabrique d'enfants en peluche pour les ours ? »
« La différence entre les femmes et les coïncidences, c'est qu'il y a des coïncidences qui ne trompent pas. »
« La loi médiatique consiste à tempérer, à cacher, à noyer, à effacer l'information. »
« Trois ans d'analyse : soixante-dix mille francs. Tout ça pour apprendre que ta mère couche avec ton père. Et qu'en plus elle aime ça ! »