« Moi, je ne joue pas pour gagner ou pour perdre. Je joue pour savoir si je vais gagner ou si je vais perdre. »
« En parlant, on ne change jamais l'opinion des autres, on change quelquefois la sienne. »
« Epouser sa maîtresse, c'est à se demander s'il ne vaut pas mieux épouser celle des autres. »
« L'infidélité de son mari, il faut des années pour en avoir le soupçon ; il suffit d'un quart d'heure pour en être sûre. »
« Je bois toujours le fond de mon verre et pourtant je ne sais jamais ce que je pense. »
« Les imbéciles ont toujours été exploités et c'est justice. Le jour où ils cesseraient de l'être, ils triompheraient, et le monde serait perdu. »
« Vouloir arriver, c'est avoir fait déjà la moitié du chemin. »
« Il faut rêver très haut pour ne pas réaliser trop bas. »
« Il y a des mémoires malheureuses qui ne se rappellent que ce qu'on leur demande d'oublier. »
« La mort d'un académicien est un événement grave à coup sûr, ce n'est pas un événement triste. »
« Les meilleurs souvenirs sont ceux que l'on a oubliés. »
« Il existe une certaine réserve qui n'est pas de la modestie mais de la paresse à se faire valoir. »
« Un mari trompe sa femme, et après l'aime davantage. C'est le côté moral de l'adultère du mari. »
« La prétendue impuissance d'aimer n'est souvent que l'impuissance d'être aimé. »