« Il nous faut abandonner l'idée qu'en matière de dépenses publiques, "plus" est synonyme de "mieux". »
« S'abandonner au délire demande autant d'effort que de passer sa vie à être raisonnable ! »
« Le monde physique paraît l'ouvrage d'un être puissant et bon, qui a été obligé d'abandonner à un être malfaisant l'exécution d'une partie de son plan. Mais le monde moral paraît être le produit des caprices d'un diable devenu fou. »
« Au plus pur de notre âme palpite un ardent désir de nous abandonner librement et par gratitude à un être inconnu, plus haut et plus pur, déchiffrant pour nous l'énigme de l'éternel Innommé. »
« Rien ne stérilise tant un écrivain que la poursuite de la perfection. Pour produire, il faut se laisser aller à sa nature, s'abandonner, écouter ses voix..., éliminer la censure de l'ironie ou du bon goût... »
« Quand l'un des deux s'en va, c'est que l'autre s'ennuie. Et quand l'autre s'ennuie c'est qu'il est malheureux. Or, lorsque l'un est malheureux, le devoir de l'autre est de l'abandonner… afin qu'il soit moins malheureux. »
« Plaideur. Personne qui se prépare à abandonner sa peau dans l'espoir de sauver ses os. »
« Pour vivre centenaire, il faudrait abandonner toutes les choses qui donnent envie de vivre centenaire. »
« (il) me conta que ce qui l'avait véritablement obligé de courir toute la Terre, et enfin de l'abandonner pour la Lune, était qu'il n'avait pu trouver un seul pays où l'imagination même fût en liberté. »
« L'unique façon de se débarrasser d'une tentation est de s'y abandonner. Résistez, et votre âme se rend malade a force de languir pour ce qu'elle s'interdit. »
« Conquérir sa joie vaut mieux que de s'abandonner à la tristesse. »
« Conquérir sa joie vaut mieux que de s'abandonner à sa tristesse. »
« Ce n'était qu'un minute à passer. Elle est passée. Vous en vivez une autre qui passe déjà. N'est-ce pas simple ? S'abandonner à la minute, celle qu'on vit, sans s'effrayer de celle qui vient ? »
« ... Elle était excessivement bavarde, ce qui pouvait passer pour une pénible manie, mais aussi pour une heureuse disposition qui permettait à son partenaire de s'abandonner à ses propres pensées sans risque d'être surpris. »