« Le mort ni le prisonnier n'a plus ni ami ni parent. »
« A vaillans cuers, riens impossible. »
« Es-tu triste ? Cherche autour de toi un service à rendre, une peine à consoler... »
« Les guerres de religion ne sont si terribles que parce qu'elles ne peuvent se terminer que par l'anéantissement de l'adversaire. »
« Il existe trois catégories d'amis : ceux, comme la nourriture, sans lesquels on ne pourrait pas vivre ; ceux comme les remèdes, dont on a besoin à l'occasion ; et ceux comme la maladie dont on ne veut à aucun prix. »
« Il ne peut y avoir de totalité de la communication. Or la communication serait la vérité si elle était totale. »
« Dieu donne à la franchise, à la fidélité, à la droiture un accent qui ne peut être ni contrefait, ni méconnu. »
« Une constitution qui est faite pour toutes les nations n'est faite pour aucune. »
« La terre entière, continuellement imbibée de sang, n'est qu'un autel immense où tout ce qui vit doit être immolé sans fin, sans mesure, sans relâche, jusqu'à la consommation des choses, jusqu'à l'extinction du mal, jusqu'à la mort de la mort. »
« Il faut renverser les monuments pour voir les vers qui grouillent. »
« Le métier de journaliste ressemble assez à celui de couturier : de fil en aiguille, plus on avance sur un sujet, plus il change d'allure. »
« Les fausses opinions ressemblent à la fausse monnaie qui est frappée d'abord par de grands coupables, et dépensée ensuite par d'honnêtes gens qui perpétuent le crime sans savoir ce qu'ils font. »
« Le glaive de la justice n'a pas de fourreau. »
« A force d'être malheureux on finit par devenir ridicule. »