« Marcher, c'est retrouver son instinct primitif, sa place et sa vraie position, son équilibre mental et physique. C'est aller avec soi, sans autre recours que ses jambes et sa tête. Sans autre moteur que celui du cœur, celui du moral. »
« L'amitié, la confiance, la sympathie ne peuvent naître entre ceux qui ne se comprennent point. »
« N'attends pas que les événements arrivent comme tu le souhaites. Décide de vouloir ce qui arrive... Et tu seras heureux. »
« Mieux vaut paraître minable aux yeux des puissances de monde qu'abominable à ses propres yeux. »
« Souviens-toi que tu es comme un acteur dans le rôle que l'auteur t'a confié : court, s'il est court ; long, s'il est long. Il dépend de toi de bien jouer ton rôle, mais non de le choisir. »
« On n'espère pas en l'amour ; on s'en empare et on le vit. »
« Ce qui trouble les hommes, ce ne sont pas les choses mais les jugements qu'ils portent sur les choses. »
« Les profits sont intéressants tant que dure la guerre !La guerre dure tant que des entrepreneurs y trouvent leurs profits. »
« Celui qui progresse ne blâme personne, ne loue personne, ne critique personne, n'incrimine personne. Il ne dit rien, ni de son importance, ni de son savoir. »
« Le temps de l'attente ressemble au temps de la sécheresse ; toujours trop long. »
« La liberté, c'est l'indépendance de la pensée. »
« Les lourdes portes de l'oubli se referment mais des lambeaux de souvenirs s'agrippent aux battants. »
« L'aventurier aime la discipline. »
« C'est le fait d'un ignorant d'accuser les autres de ses propres échecs ; celui qui a commencé de s'instruire, s'en accuse soi-même ; celui qui est instruit n'en accuse ni autrui ni soi-même. »