« Tant que tu ne cesseras de monter, les marches ne cesseront pas ; sous tes pieds qui montent, elles se multiplieront à l'infini ! »
« L'amitié, la confiance, la sympathie ne peuvent naître entre ceux qui ne se comprennent point. »
« Le temps de l'attente ressemble au temps de la sécheresse ; toujours trop long. »
« L'amour est un divertissement que la réalité ne peut nous offrir. L'amour est une réponse de l'imagination à la platitude, à l'opacité, à la monotonie de nos vies. »
« Deux questions nous tourmentent : la question de l'origine, du commencement et la question de l'issue dernière. Tout le reste n'est que remplissage et façon de passer le temps. »
« Il n'est pas de pire enfer que de se haïr soi-même. »
« Nous avons si peu l'habitude de la bonté que nous la confondons, en général, avec l'idiotie. »
« Les écrivains écrivent peut-être pour cautériser à l'aide de mots les silences inconcevables et insupportables de l'enfance. »
« L'abrutissement est l'état le plus proche de l'innocence. »
« L'enfer n'est plus sous nos pieds mais dans nos têtes parce que l'imagination et le rêve se meurent. »
« Le noir, c'est la négation de la lumière, de l'ombre et notre double si mystérieux. »
« Voilà ce qu'est l'écriture : un effort pour transcender l'individualité et la misère humaine. »
« Ecrire pour faire passer un message trahit la fonction primordiale du roman, sa raison fondamentale, celle de la recherche du sens. »
« La vie est kaléidoscopique, elle n'est pas quelque chose de sûr. »