« Une amitié acquise, c'est une servitude; perdue, c'est un deuil. »
« Pour un mort sept jours de deuil ;pour le sot et pour l'impie tous les jours de leur vie. »
« Une année de plus à notre âge est une année de moins à notre vie, l'anniversaire est-il alors fête ou deuil ? »
« Les larmes empêchent de voir, le deuil encore plus. »
« Les chapeaux, le deuil et les scrupules ne se portent plus. »
« La gloire elle-même ne saurait être, pour une femme, qu'un deuil éclatant du bonheur. »
« Voilà le miroir où la nature nous présente ce que l'avenir nous préserve après la mort. Y voit-on apparaître quelque image horrible, quelque sujet de deuil ? N'est-ce pas un état plus paisible que n'importe quel sommeil ? »
« Malheur à vous qui riez maintenant, car vous connaîtrez le deuil et les larmes! »
« De l'aphorisme obscur retiens la possible étincelle. »
« Ne ris pas de mon deuil, Quand le mien sera vieux, le tien sera neuf. »
« Plus encore que dans le poème, c'est dans l'aphorisme que le mot est dieu. »
« Toute opinion philosophique, tout axiome, toute proposition générale et solennelle, énoncée sous forme d'aphorisme, est une bêtise. »
« Développer une idée m'a toujours paru indécent, c'est pourquoi j'aime l'aphorisme. Développer une idée, c'est prendre le lecteur pour un imbécile: il ne comprendra que si on lui répète de mille manières ce qu'on veut lui faire entendre. »
« Si fut incontinent tout le camp adverty du deuil qu'en menoit Aemulius, et de la destresse en laquelle il en estoit. »