« Le socialisme à notre époque est le résultat d'un goût maladif pour les sports d'équipe. »
« Il faut croire à la vie avant de croire en Dieu ; accepter tous les risques de la liberté pour oser le pari de la foi. Elle n'est rien si elle n'inclut la possibilité, à chaque instant éprouvée, de ne pas croire. »
« Si nul ne prenait jamais de risques, Michel-Ange aurait peint les planchers de la chapelle Sixtine. »
« Les risques du métier : son menton a soudainement quitté la paume de sa main droite posée grâce à un coude et sa tête est venue frapper lourdement le bureau. Une fois encore, un fonctionnaire s'est tué au travail. »
« Je crois avoir identifié les raisons de l'extraordinaire engouement de mes contemporains pour des sports qu'ils n'exercent pas personnellement. C'est un folklore que la caution de quelques intellos finit par transformer en patrimoine. »
« Cinéma : lieu dangereux en raison des risques de projection de navets. »
« Pour aider quelqu'un, l'aider vraiment, il faut prendre des risques, mettre sa tranquillité en danger. »
« Si les Français savaient le rôle de l'intelligence et de volonté, la part de l'esprit et de caractère dans la plupart des sports; avec quel entrain ils y pousseraient leurs enfants! »
« Le secret d'une bonne santé: la pratique raisonnée de tous les excès et l'abstention nonchalante de tous les sports. »
« Il y a bien des manières de ne pas réussir, mais la plus sûre est de ne jamais prendre de risques. »
« On court les risques du dégoût en voyant comment l'administration, la justice et la cuisine se préparent. »
« L'avenir appartient aux audacieux, il appartient à ceux qui cherchent, qui prennent des risques. »
« Les banquiers sont capables de prendre des risques inconsidérés pour se manger les uns les autres, mais pas pour financer les start up. »
« Le risque qu'il y ait une bombe dans un avion est de un sur un million. Le risque qu'il y ait deux bombes dans un avion est de un sur cent milliards. La prochaine fois que vous prendrez l'avion, diminuez les risques, emmenez votre bombe ! »