« L'absence ou le mépris du programme n'est pas nécessairement un signe de totalitarisme. »
« Les mots qu'on dit comptent si peu, quand le corps entier et l'âme les contredisent. »
« Ils (les critiques) sont comme les eunuques d'un harem. Ils sont là tous les soirs, ils assistent à la chose tous les soirs, ils constatent comment la chose doit se faire, mais ils sont incapables de la faire eux-mêmes. »
« Nous sommes libres de changer le monde et d'y introduire de la nouveauté. Sans cette liberté mentale de reconnaître ou de nier l'existence. Il n'y aurait aucune possibilité d'action. »
« C'est dans le vide de la pensée que s'inscrit le mal. »
« Le monde réagit sur nous autant que nous réagissons sur lui. »
« Bien sûr qu'il y a des gens honnêtes, sincèrement droits, sur lesquels on peut compter jusqu'à la mort. Mais ils ne sont pas drôles. Tandis qu'une crapule... »
« Le drame des dictatures, c'est qu'elles donnent toute licence aux malades mentaux, aux mégalomanes, aux méchants, aux malhonnêtes gens d'aller jusqu'au bout de leur folie, de leur mégalomanie, de leur méchanceté, de leur malhonnêteté. »
« La fatigue n'est pas le prix qu'on paie, mais celui qu'on reçoit... »
« La dignité passe par le sentiment qu'on a de son utilité. »