« Le calcul des probabilités, appliqué à la mortalité humaine a donné naissance à une science nouvelle : celle des assurances. »
« Enseigner la gestion de son corps, réinventer ce que l'on appelait l'éducation sanitaire, et ce dès l'école. »
« L'impôt sur le revenu agit comme le mors ; l'impôt sur le capital agit comme l'éperon. »
« La popularité est plus communément un écueil qu'une récompense. »
« Tout le monde parle de progrès, et personne ne sort de la routine. »
« La force des gouvernements est en raison inverse du poids des impôts. »
« Une amitié qui ne peut pas résister aux actes condamnables de l'ami n'est pas une amitié. »
« On peut tout faire avec des baïonnettes sauf s'asseoir dessus. »
« Le besoin d'affabulation, c'est toujours un enfant qui refuse de grandir. »
« Lire, c'est penser avec un autre, penser la pensée d'un autre, et penser la pensée, conforme ou contraire à la sienne, qu'il nous suggère. »
« Un diadème posé sur une tête n'y a jamais fait entrer une idée de plus que ce qu'elle en pouvait contenir. »
« Dieu nous a donné deux extrémités : l'une pour s'asseoir, l'autre pour réfléchir. La vie dépend de celle qu'on utilise : face on gagne, pile on perd. »
« Il fait bon partout où l'on respire l'air de la liberté. »
« Un bon journaliste ne lit qu'un journal, le sien, et dans ce journal, il ne lit qu'un article, le sien. »