« Le jour où la joie des autres devient ta joie, le jour où leur souffrance devient ta souffrance, tu peux dire que tu les aimes. »
« Je ne suis le porte-drapeau de personne... - Ecrire est une entreprise tellement solitaire... »
« La musique de jazz, c'est l'insouciance accélérée. »
« La culture, c'est comme la confiture : moins on en a, plus on l'étale. »
« Celui qui est né pour un petit pain n'en aura jamais un gros. »
« Il mourut, poursuivant une haute aventure, - Le Ciel fut son désir, la Mer sa sépulture; - Est-il plus beau dessein, ou plus riche tombeau? »
« C'est là une des contradictions de la littérature, qu'il y a un temps pour vivre, et un temps pour écrire, et que, dans le temps où l'on écrit, on n'a guère celui de vivre. »
« ... La base idéale d'un riche Anglais poli: l'ennui. »
« Il n'y a qu'un vrai silence : celui de la mort. »
« Aimer, c'est faire jaillir en l'autre une nouvelle vie. C'est re-créer. »
« L'argent rend égoïste. C'est bien pourquoi je veux en avoir. Je trouve l'égoïsme confortable, équilibrant... »
« Pour moi, le bonheur est d'abord d'être bien. »
« ... La terre est peuplée de truqueurs et de bavards, qui se servent des mots comme d'une monnaie qu'ils sauraient fausse. »
« Infini est le champ du roman. »