« Le chagrin de la mort d'un époux dure six mois ; on ne se console jamais de la mort d'un enfant. »
« La fin suprême de la famille serait qu'entre les trois personnes il n'y eût plus ni sexe ni âge, que les fils fût le père de ses parents, l'époux de sa mère. »
« Avec ta mère jusqu'au rivage ; avec ton époux, à travers l'océan. »
« Ce soir, tout va fleurir: l'immortelle nature - Se remplit de parfums, d'amour et de murmure, - Comme le lit joyeux de deux jeunes époux. »
« Devenez des époux, demeurez des fiancés. »
« Lors d'une dispute conjugale, la seule personne qui écoute attentivement la version de chaque époux, c'est le locataire de l'appartement contigu. »
« Elle ne disait plus rien, les yeux baissés, révoltée toujours dans son âme et dans sa chair, devant ce désir incessant de l'époux, n'obéissant qu'avec dégoût, résignée, mais humiliée, voyant là quelque chose de bestial, de dégradant, une saleté enfin. »
« La vie de deux époux qui s'aiment, c'est une perte de sang-froid perpétuel. »
« En se mariant, toute femme s'imagine sottement qu'elle pourra transformer son époux, et tout homme a la naïveté de croire que sa femme ne changera jamais. »
« Le divorce est si naturel que, dans beaucoup de maisons, il couche toutes les nuits entre les époux. »
« Les amoureux rêvent, les époux sont réveillés. »
« L'époux est toujours le mâle nécessaire. »
« La pudeur, n'est rien, elle n'est qu'une invention des lois sociales pour mettre à couvert les droits des pères et des époux et maintenir quelque ordre dans les familles. »
« Ce qui est grave dans un ménage, c'est que l'un des deux époux aime et l'autre n'aime pas. Mais s'ils ne s'aiment ni l'un, ni l'autre, ils peuvent être heureux. »