« Le grand tort que nous avons, nous autres femmes, c'est, pour amant, de chercher toujours un homme que nous aimons, alors que la vérité serait d'en chercher un qui nous aime. »
« C'est moi le cocu! et c'est moi qu'on engueule! »
« N'est-elle pas plus morale, l'union libre de deux amants qui s'aiment, que l'union légitime de deux êtres sans amour ? »
« Ma seule gymnastique, c'est d'aller aux enterrements de mes amis qui faisaient de la gymnastique pour rester en bonne santé. »
« La chambre commune, c'est la sauvegarde de la fidélité conjugale. C'est même ce qui fait la force des unions libres. »
« La mère fait des ménages, la fille les défait. »
« Il n'y a que dans ces courts instants où la femme ne pense plus du tout à ce qu'elle dit, que l'on peut être sûr qu'elle dit vraiment ce qu'elle pense. »
« On n'achète pas les tableaux parce qu'on les aime ; on les aime parce qu'on les achète. »
« Certains maris ne sont bons qu'à être cocus, et encore faut-il que leur femme les aide. »
« Il n'y a plus d'anthropophages dans le pays depuis que nous avons mangé le dernier. »
« La jeune génération est très inférieure à la nôtre... Tout de même, si je pouvais en faire partie. »
« L'amour propre et l'amour, ça ne va pas ensemble. Si même il y en a un qu'on appelle propre, c'est pour le distinguer de l'autre, qui ne l'est pas. »
« Si les maris permettaient un ou deux amants à leurs femmes pour qu'elles puissent comparer, il y auraient beaucoup plus de femmes fidèles. »
« Si les maris pouvaient laisser leurs femmes avoir un ou deux amants pour leur permettre de comparer, il y aurait beaucoup plus de femmes fidèles. »