« Les femmes sont magiques... Alors je suis devenu magicien. »
« Oui, l'amour fait mal : comme les grands oiseaux rapaces, il plane au-dessus de nous, il s'immobilise et nous menace. »
« Ce qui est révoltant dans la guerre, c'est qu'elle prive l'homme de son combat individuel. »
« Chasse la nature à coups de fourche, elle reviendra toujours au pas de course. »
« Il emporte tous les suffrages, celui qui mêle l'utile à l'agréable. »
« Comme la nuit paraît longue à la douleur qui s'éveille. »
« Chassez le naturel avec une fourche, il reviendra toujours en courant. »
« Tu es belle, si belle que te regarder est une souffrance. »
« Les peintres et les poètes ont toujours eu le droit de tout oser. »
« Commencer, c'est avoir à moitié fini. »
« La pâle mort frappe d'un pied indifférent les masures des pauvres et les palais des rois. »
« Souvent même la crainte de la mort pénètre les humains d'une telle haine de la vie qu'ils se donnent volontairement la mort dans l'excès de leur détresse, oubliant que la source de leurs peines est cette crainte elle-même. »
« Les jambes des femmes sont des compas qui arpentent le globe terrestre en tous sens et lui donnent son équilibre et son harmonie. »
« Courir au-delà des mers, c'est changer de climat, mais non changer de cœur. »