« Lorsqu'on ne choisit pas, on ne peut aimer ni les choses ni les êtres. Au mieux peut-on les voir avec indifférence. »
« Ne sais-tu pas que la source de toutes les misères de l'homme, ce n'est pas la mort, mais la crainte de la mort ? »
« C'est une malédiction pour les épis de ne pas être moissonnés, et ce serait une malédiction pour les hommes de ne pas mourir. »
« Le goût n'est que la conscience du beau, comme la conscience n'est que le goût du bon. »
« Si tu prends un rôle au-dessus de tes forces, non seulement tu y fais pauvre figure, mais celui que tu aurais pu remplir, tu le laisses de côté. »
« Dis-toi d'abord qui tu veux être, puis fais en conséquence ce que tu dois faire. »
« Que pouvons-nous pour les autres quand les autres ne sont pas capables d'y faire quoi que ce soit ? »
« La raison consiste à analyser les choses et à les élaborer. »
« C'est toujours très curieux ce qui se passe quand on se meurt d'amour et qu'on n'a personne pour se jeter dedans, follement. »
« Le principe de tous les maux pour l'homme, de la bassesse, de la lâcheté, ce n'est pas la mort, mais plutôt la crainte de la mort. »
« On ne force pas le secret. Ou le secret vient comme de lui-même à soi, ou bien le secret vous est interdit. »
« Ne parle pas. C'est par la parole qu'on devient indigne de tout. »
« L'essence de la philosophie est qu'un homme devrait vivre de manière à ce que son bonheur dépende aussi peu que possible de causes extérieures. »
« Ce n'est pas par la satisfaction du désir que s'obtient la liberté, mais par la destruction du désir. »