« La mort. L'horreur absolue de la non-existence. La mort ne rentre dans aucun schéma. Il n'y a pas d'explication à la mort. Elle entre, elle vous arrête au milieu d'une phrase : "Non, c'est fini" et claque la porte. »
« En automne, je récoltai toutes mes peines et les enterrai dans mon jardin.Lorsque avril refleurit et que la terre et le printemps célébrèrent leurs noces, mon jardin fut jonché de fleurs splendides et exceptionnelles. »
« L'automne est un andante mélancolique et gracieux qui prépare admirablement le solennel adagio de l'hiver. »
« Un texte de théâtre est à voir. Un texte de théâtre est à écouter. Est-ce qu'un texte de théâtre est à lire ? »
« Quand vous citez un texte con, n'oubliez pas le contexte. »
« Le théâtre est un grand bricolage. C'est l'éternelle remise en question du texte sur scène, du personnage, de la lumière, du décor. »
« Tout l'automne à la fin n'est plus qu'une tisane froide. »
« Avec le traitement de texte, vous allez vous apercevoir que, pour chaque minute passée à écrire des mots, vous passerez au moins dix minutes à choisir dans quelle police de caractères les habiller. »
« L'acteur est un artiste et non pas un critique. Son but n'est pas de faire comprendre un texte, mais de faire vivre un personnage. »
« De la dépouille de nos bois L'automne avait jonché la terre. »
« Poème : texte où chaque ligne commence par une majuscule. »
« Il y a un fossé entre explication et excuse. »
« La clémence est autant agréable aux hommes qu'une pluie qui vient sur le soir, ou dans l'automne, tempérer la chaleur du jour ou celle d'une saison brûlante, et humecter la terre que l'ardeur du soleil a desséchée. »
« L'automne a beau se parer, comme une vieille coquette, s'orner de feuillages pourpres ou mordorés, il n'est que leurre et trompe-l'oeil. »