« L'homme appartient à la vie, mais la vie n'appartient pas à l'homme. »
« C'est toujours par la faim que commence un bon repas. »
« Il y a cette différence entre un cornichon et un mari que l'un se confit dans son entier et l'autre dans sa moitié. »
« Voici mon opinion sur la poésie : les vers sont de petites prisons cellulaires où la pensée est coffrée. »
« Dieu disait à Moïse : Je suis celui qui est ; le capitaliste dit aujourd'hui : Je suis celui qui a. »
« Ne pesez pas l'oeuvre avant que la journée soit finie et le labeur achevé. »
« Nous sommes des «éponges» qui, à tout âge, absorbons les émotions et épousons les comportements et les attitudes de notre entourage immédiat. »
« Ils ne savent pas que sans poésie, c'est eux qui sont morts. »
« Le bonheur va et vient et ne s'attarde pas toujours aux plus méritant mais à ceux qui apprennent à le saisir au passage. »
« Combien de joies ne voyons-nous pas à nos pieds quand notre regard est perdu dans les nuages ? »
« L'indifférenciation des sexes n'est pas celle des identités. »
« Quand je mange des glaces, cela me fait réfléchir. »
« Seul le fou qui rit ne s'entend pas pleurer. »
« Aliénant et culpabilisant pour les femmes, le mythe de l'instinct maternel se révèle ravageur pour les enfants, et en particulier pour les fils. »