« Entre 18 et 20 ans, la vie est comme un marché où l'on achète des valeurs non avec de l'argent, mais avec des actes. La plupart des hommes n'achètent rien. »
« La solitude serait un endroit idéal si on pouvait choisir les gens qu'on évite. »
« Les continents se réfèrent à des valeurs différentes : la pensée en Europe, la parole dans le monde Arabe, le geste en Inde, le signe en Chine et au Japon, le rythme en Afrique. »
« Rassembler est un idéal : les hommes sont divisés à l'intérieur d'eux-mêmes, comment ne le seraient-ils pas dans la vie sociale ? »
« Intellectuels ? Ceux qui donnent des valeurs à ce qui n'en a point. »
« Personne n'a jamais évalué le nombre de triomphes imaginaires que les gens célèbrent silencieusement chaque année, pour se réconforter. »
« Est-il donc si utopiste ou réactionnaire de prôner l'attachement aux valeurs de la patrie ? »
« Quand on est plus de quatre on est une bande de cons. A fortiori, moins de deux, c'est l'idéal. »
« Beaucoup de gens cherchent la route qui peut les conduire à leur idéal ; je n'ai pas d'idéal, le personnage qui fait parade de son idéal est tout simplement un arriviste. »
« Ecrire, c'est traduire en mots des pensées, des faits, des sentiments, des sensations, le corps, la chair, le silence. La vie est la langue étrangère de l'écrivain. »
« Il n'y a que deux maux bien réels dans le monde : le remords et la maladie ; le reste est idéal... »
« Le français : idiome idéal pour traduire délicatement des sentiments équivoques. »
« Le lecteur idéal lit toute la littérature comme si elle était anonyme. »
« Je fais du théâtre pour ressentir les sensations que la vie ne m'apporte pas... »