« Il est rare de trouver un homme qui se livre trois ans à l'étude, sans avoir en vue un salaire. »
« La vie n'est pas un livre. C'est une rencontre de forces, un rajustement d'équilibres, des croisements d'ellipses. »
« J'ai eu trois éducations : la rue, l'école, la Bible ; c'est finalement la Bible qui compte le plus. C'est l'unique livre que nous devrions posséder. »
« Trois ans pour faire un livre, cinq lignes pour le ridiculiser et des citations fausses. »
« Les trois règles pratiques que j'ai à offrir sont: - 1. Ne jamais lire un livre qui date de moins d'un an. - 2. Ne lire que des livres réputés. - 3. Ne lire que des livres que vous aimez. »
« Je n'ai jamais compris comment on peut écrire un livre à deux. C'est comme si on se mettait à trois pour faire un enfant. »
« Trois choses sont nécessaires pour faire un bon livre: le talent, l'art et le métier, c'est à dire la nature, l'industrie et l'habitude. »
« Les grandes oeuvres sont toutes des vengeances, les chefs-d'oeuvre sont tous des revanches. Je crois que c'est la loi de fer des écrivains : ils ne réussissent leurs livres que dans la mesure où ils ont raté leur vie. »
« Trois choses rafraîchissent le cœur et délivrent du chagrin : l'eau, les fleurs, la beauté féminine. »
« Il n'y a pas que le pédantisme des savants. Il y a aussi celui des ignorants, chez les gens sans instruction, qui n'ont lu que deux ou trois livres d'école communale, et qui ne ratent pas une occasion de s'en souvenir, au sujet de n'importe quoi. »
« Ce que je reproche aux journaux, c'est de nous faire faire attention tous les jours à des choses insignifiantes, tandis que nous lisons trois ou quatre fois dans notre vie les livres où il y a des choses essentielles. »
« Il semble que le goût des livres croisse avec l'intelligence, un peu au-dessous d'elle, mais sur la même tige, comme toute passion s'accompagne d'une prédilection pour ce qui entoure son objet, a du rapport avec lui, dans l'absence lui en parle encore. »
« A quoi peut servir d'avoir lu trois mille livres, quand, les cheveux blanchis, on reste indigne de l'amour du peuple ? »
« A Delphis je vis le Peintre Vermeer qui n'avoit point de ses ouvrages; mais nous en vismes chez un boulanger qu'on avait payé de six cents livres, quoiqu'il n'y eust qu'une figure, que j'aurois trop payé de six pistoles. »