« Autrui, obstacle à la création, est le paradoxal destinataire de l'art. »
« Les critiques littéraires sont les cactus qui vivent de leurs piquants parmi les vautours qui vivent de leurs plumes. »
« Les véritables miracles sont les bonnes actions faites en dépit de notre caractère et de nos passions. »
« Il y a bien moins de difficultés à résoudre un problème qu'à le poser. »
« Une bonne réputation comme femme et comme ouvrière est plus avantageuse qu'un capital. »
« Ecrire pour moi, m'enfoncer dans ce qu'on appelle l'imaginaire, n'était-ce pas une façon de renverser un monde renversé, celui de l'enfant confondu à sa génitrice : pour retrouver, par la fiction, le réel ? »
« La littérature est une maladie. Ou peut-être un remède a une maladie. »
« Si je n'espère rien, rien ne me fera craindre. »
« On ne peut applaudir d'une seule main. »
« C'est justement pour préserver ce qui est neuf et révolutionnaire dans chaque enfant que l'éducation doit être conservatrice, c'est-à-dire assurer "la continuité du monde". »
« Peu importent les notes, en musique, ce sont les sensations produites qui comptent. »
« Le péché fait par force est toujours pardonné. »
« Parler c'est comme baiser. C'est obscène et beau. »
« Il n'y a point de méthode facile pour apprendre les choses difficiles. »