« Les empires ne périssent pas sous les coups de leurs ennemis mais par leur propre épuisement et par la démission des forces qui les soutiennent. Il en va de même de nos amours et de notre vie. »
« La mort semble la seule route possible pour retrouver la dignité perdue. Le retour du pays d'un reflet. »
« Il est préférable de mourir de mort naturelle que d'ennui. »
« L'amour-propre est dans l'amour comme l'intérêt personnel est dans l'amitié. »
« Aucune action ne peut se faire pour l'homme sans se faire aussitôt contre des hommes. »
« L'hiver. Le mot seul possède une assonance antipathique. »
« Le mystère de l'incarnation se répète en chaque femme ; tout enfant qui naît est un Dieu qui se fait homme. »
« Je déteste faire le ménage. Vous faites le lit, la vaisselle et six mois après, tout est à recommencer. »
« Malheur à celui qui ne peut être seul un jour de sa vie sans éprouver le tourment de l'ennui, et qui préfère, s'il le faut, converser avec des sots plutôt qu'avec lui-même ! »
« Les femmes se forgent à elles-mêmes les chaînes dont l'homme ne souhaite pas les charger. »
« C'est une règle éternelle de morale et de politique qu'il ne faut jamais pousser son ennemi jusqu'au désespoir. »
« La main destructive de l'homme n'épargne rien ; il tue pour se nourrir, il tue pour se vêtir, il tue pour attaquer, il tue pour se défendre, il tue pour s'instruire, il tue pour s'amuser, il tue pour tuer ; il a besoin de tout, et rien ne lui résiste. »
« On n'existe pas sans faire. »
« Une cuiller pour maman, une pour bonne-maman... Si tu ne manges pas, tu ne grandiras pas. »