« Les malheurs passés ne servent vraiment à rien qu'à faire des livres. »
« Quand nos amis nous ont trompés, on ne doit que de l'indifférence aux marques de leur amitié, mais on doit toujours de la sensibilité à leurs malheurs. »
« Chacun de nous a son passé renfermé en lui comme les pages d'un vieux livre qu'il connaît par cœur, mais dont ses amis pourront seulement lire le titre. »
« Le TGV, trop rapide, est un mauvais coup porté au livre. »
« Un livre n'est rien qu'un petit tas de feuilles sèches, ou alors, une grande forme en mouvement : la lecture. »
« Il semble prudent de remercier un auteur pour son livre avant de le lire. Cela évite d'avoir à mentir. »
« Cette même égalité qui rend l'individu indépendant de chacun de ses concitoyens en particulier le livre isolé et sans défense à l'action du plus grand nombre. »
« Il y a vingt-six lettres dans l'alphabet. Il n'y a que l'ordre qui change. Quand tu as lu un livre, tu les as tous lus. »
« Quand un livre élève l'âme, soyez sûr qu'il est fait de main de maître. »
« Notre raison, déjà si insuffisante pour prévenir nos malheurs, l'est encore davantage pour nous en consoler. »
« On commence à avoir des malheurs quand on a cessé de ne penser qu'à soi. »
« C'est un métier que de faire un livre, comme de faire une pendule. »
« On pardonne à un être sur quelques minutes, comme à un livre sur quelques phrases. »
« Le journaliste est un interprète de la curiosité publique. »