« La notoriété, c'est comme de manger des cacahuètes : quand on commence, on ne peut plus s'arrêter. »
« Week-end : profiter du week-end pour travailler un peu, se promener en débraillé, s'efforcer de ne pas manger. »
« Le premier des droits de l'homme est celui de pouvoir manger à sa faim. »
« Dans ce singulier pays, où les hommes ne sont certainement pas à la hauteur des institutions, tout se fait "carrément", les villes, les maisons et les sottises. »
« La recherche du bonheur est la recherche de nous-mêmes. Le bonheur est différent pour chacun de nous ; il est différent comme les vocations : identique et uniforme, il serait sa propre négation. »
« Faire une élection, c'est raconter une histoire de telle façon que l'enfant qui sommeille en tout électeur croie que le candidat est le seul héros crédible de cette histoire. »
« Une aquarelle n'est pas une histoire, c'est la traduction d'une sensation, d'un souvenir, d'un état d'âme. »
« C'est toujours une histoire bien simple que celle d'un cœur passionné. »
« Cette manière d'élever le journalisme à la hauteur d'un spectacle permet à ses promoteurs de laisser croire qu'ils ont du talent. »
« Je hais la télévision. Je la hais autant que les cacahuètes. Mais je ne peux m'arrêter de manger des cacahuètes. »
« Vivre seul, c'est prendre plaisir à manger du céleri rémoulade dans son papier d'emballage. »
« L'histoire est comme un esprit qui frappe au mur. »
« Selon les latitudes, la haine de l'étranger change de nom. En Europe, elle s'appelle patriotisme, en Chine xénophobie. »
« La télé, c'est de l'actualité qui se congèle en histoire. Aussitôt fait, aussitôt dit. »