« La lecture suffit pour arrêter l'intelligence, la nourrir, l'élever, la purifier ; quoique peu fatigante, elle suffit pour éloigner l'oisiveté. »
« La gloire est l'ombre de la vertu ; elle l'accompagnera malgré elle. »
« Un médecin consciencieux doit mourir avec le malade s'ils ne peuvent pas guérir ensembles. »
« La vertu paradoxale de la lecture est de nous abstraire du monde pour lui trouver un sens. »
« Pour la plupart des gens, la lecture, c'est du temps perdu. Et, chose autrement grave, du temps perdu avec ennui. »
« Le métier vient tout seul, malgré soi, avec l'exercice, et d'autant plus facilement qu'on pense à autre chose que le métier. »
« Un des problèmes que l'on rencontre avec les techniques de lecture rapide c'est que le temps de se rendre compte qu'un livre est ennuyeux, on l'a déjà terminé. »
« Un jeune médecin vit moins qu'un vieil ivrogne. »
« La science du médecin est de découvrir chez un patient un mal dont tous les deux puissent vivre. »
« Il n'y a rien de plus ridicule qu'un médecin qui ne meurt pas de vieillesse. »
« L'acte d'amour et l'acte de poésie sont incompatibles avec la lecture du journal à haute voix. »
« La lecture de tous les bons livres est comme une conversation avec les plus honnêtes gens des siècles passés. »
« Un soir consacré à la lecture des grands livres est pour l'esprit ce qu'un séjour en montagne est pour l'âme. »
« La biographie est une prison. Prison des dates, des faits, des fiches. Le roman, c'est la liberté. »