« La nature apprend à l'homme à nager lorsqu'elle fait couler son bateau. »
« Si Dieu nous prend un à un nos amis, c'est pour faire d'eux les étoiles de notre espérance et de notre ciel. »
« Sans l'incertitude l'aventure n'existerait pas. »
« Marcher comme une feuille morte tombée de l'arbre que le vent emporte, sans savoir si c'est le vent qui vous porte ou si vous portez le vent... »
« C'est l'homme tout entier qui est conditionné au comportement productif par l'organisation du travail, et hors de l'usine il garde la même peau et la même tête. Dépersonnalisé au travail, il demeurera dépersonnalisé chez lui. »
« Écrire consiste à rêver avec une intensité telle que nous parvenons à arracher au monde un morceau. »
« Vécue, la souffrance n'en est pas pour autant reconnue. »
« Marcher vraiment, c'est aller au rythme de la fleur qui s'ouvre. »
« Celui qui vit de peu vit beaucoup. »
« Dieu ne nous demande jamais que le oui que nous pouvons donner à ce moment-ci de notre vie. »
« Il y a dans la vie des instants de bonheur qu'aucun poème ne peut résumer. »
« Ne dis pas à quelqu'un que tu l'aimes pour changer d'avis par la suite. L'amour, ça n'est pas comme choisir le film que l'on a envie de voir. »
« Les fées nous endorment, nous ouvrent les portes de leur royaume, qui se referment sur nous sans qu'elles aient pris la précaution de nous en remettre la clé. »
« La différence entre les papas et les mamans ? Les mamans ne s'assoient pas pour manger le dîner. »