« On parle à une femme, on lui dit des phrases en sachant bien qu'elle ne comprend pas, comme on parle à un chien ou à un chat. »
« La faucille et le marteau pour les communistes ! La croix et la bannière pour les chrétiens ! Le sabre et le goupillon pour les rois ! »
« Toutes nos phrases sont dictées par les nécessités et les illusions de notre situation concrète. »
« Les mêmes souffrances unissent mille fois plus que les mêmes joies. »
« Punissez-vous vous-même, afin que la justice de Dieu qui est plus grand, vos fautes ne punisse. »
« Un homme riche n'est jamais vieux, jamais laid, pour une jolie fille opportuniste. »
« Il y a des phrases qui ne peuvent s'écrire qu'à la main. »
« Les phrases définitives sont quelquefois celles sur lesquelles on revient le plus vite. »
« Le technique qui consiste à isoler du contexte de l'époque des phrases prononcées il y a quinze ou vingt ans n'est pas honnête. »
« Rajeunissement. Tous les esthéticiens le conseillent. Ils ont raison. C'est le vrai secret de la fraîcheur. »
« Les gens du monde se réunissent moins pour goûter le plaisir d'être ensemble que pour s'en répartir l'ennui. »
« Les petits péchés sont les plus grandement punis. »
« L'opportunisme du cœur est la seule sagesse sentimentale. »
« L'apiculteur était communiste par amour des abeilles dont il admirait l'organisation. La reine lui posait un problème. »