« Poil par poil, toute la barbe viendra. »
« La force ? Ne jamais s'en départir, ne jamais s'en servir ! »
« A Paris, lorsque Dieu y plante une jolie femme, le diable, en réplique, y plante immédiatement un sot pour l'entretenir. »
« A force de vivre au milieu des tableaux, on finit par se taire ; on vit surtout avec les yeux. »
« Les êtres heureux sont graves. Ils portent en eux attentivement leur cœur comme un verre plein, que le moindre mouvement peut faire déborder ou briser. »
« A mesure que les peuples montent en civilisation, les gouvernements descendent en police. »
« Il n'y a que la gloire qui dispense de la politesse. »
« Quand on a des opinions courantes, on les laisse courir. »
« Si le tact était à vendre, il n'y a que ceux qui en ont qui en achèteraient. »
« Les grands hommes sont comme les plus belles fleurs. Ils croissent sous le fumier et à travers le fumier que jettent sur eux les envieux et les imbéciles. »
« L'idéal économique des bourgeois est d'augmenter indéfiniment le nombre des consommateurs. »
« Avant de choisir le prénom d'un garçon pensez à la femme qui aura à le murmurer plus tard. »
« L'égalité, cette chimère des vilains, n'existe vraiment qu'entre nobles. »
« Les passions font moins de mal que l'ennui, car les passions tendent toujours à diminuer tandis que l'ennui tend toujours à s'accroître. »