« Ah! la volupté d'abattre du travail comme on abat des arbres, de s'attaquer à une montagne de papier comme on escalade le mont Blanc pour donner, peu à peu, au bureau - par traitement ou par élimination - l'aspect du Sahara. »
« Un hôpital devrait toujours avoir une salle de réanimation juste à côté du bureau du caissier. »
« Les risques du métier : son menton a soudainement quitté la paume de sa main droite posée grâce à un coude et sa tête est venue frapper lourdement le bureau. Une fois encore, un fonctionnaire s'est tué au travail. »
« L'amitié, cet unisson de la poitrine, quand une même corde tendue d'un cœur à l'autre vibre sur tous deux... Cette amitié est plus généreuse que l'amour, plus rare et plus grande que l'amour dont tout humain est capable. »
« Si tu ramasses un coquillage et que tu le portes à ton oreille, tu entendras la mer. Si tu le portes à ta poitrine, il entendra ton cœur. »
« La terre est comme la poitrine d'une femme : utile autant qu'agréable. »
« Méfie-toi des femmes, mon vieux, qu'elles ne prennent jamais le pas sur toi. Elles ne sont que des médailles accrochées à la poitrine des héros. »
« Un banquet sans confettis ? Aussi sinistre qu'une femme sans poitrine. »
« Une maman se révèle dès qu'elle sent son ventre s'arrondir et sa poitrine se tendre. »
« Le bureau n'a jamais cessé de me plaire pour la simple raison que je ne le vois pas. Il me permet d'exister. »
« Une fille qui fait 95 de tour de poitrine et 32 de tour de tête ne peut pas vraiment être mauvaise. Elle peut seulement être légèrement sotte. »
« Que de femmes ont de la cervelle plein la poitrine ! »
« L'amour, après tout, n'est qu'une curiosité supérieure, un appétit de l'inconnu qui vous pousse dans l'orage, poitrine ouverte et tête en avant. »
« Le patron constitue le plus gros obstacle à l'oisiveté au bureau. »