« Le travail est le pain nourricier des grandes nations. »
« La solitude est essentielle à la fraternité. »
« J'ai toujours remarqué que les gens faux sont sobres, et la grande réserve de la table annonce assez souvent des moeurs feintes et des âmes doubles. Un homme franc craint moins ce babil affectueux et ces tendres épanchements qui précèdent l'ivresse... »
« Courroux de frère, courroux de diables d'enfer. »
« Il est trois sortes de gens qui parlent peu, ce sont les savants et les gens forts heureux ou malheureux ; ainsi l'on peut dire que le savoir, la douleur et le bonheur sont muets. »
« Le droit est le souverain du monde. »
« Vilain enrichi ne connaît ni parent ni ami. »
« Les gens que l'on aime devraient mourir avec toutes leurs affaires. »
« L'homme est le bâtard de Dieu, un bâtard abandonné. Et vous venez lui demander d'aimer papa ? »
« Le problème du mariage c'est qu'il meurt toutes les nuits après l'amour et qu'il faut le reconstruire tous les matins avant le petit déjeuner. »
« Qui se mêle du métier d'autrui, trait sa vache dans un panier. »
« Les conseilleurs ne sont pas les payeurs. »
« Plusieurs personnes sentent mauvais : obligées de vivre ensemble, elles conviennent de porter des odeurs fortes. Voilà en partie la politesse. »
« La justice, comme la peste, change les âmes et les visages. »