« Je meurs en adorant dieu, en aimant mes amis, en ne détestant pas mes ennemis, en haissant la superstition. »
« A force d'entendre parler de moi, je meurs d'envie de me connaître. »
« Ne te courbe que pour aimer. Si tu meurs, tu aimes encore. »
« Les liens du cœur sont les plus importants de la vie. Pas de liens, tu meurs... Ou tu deviens une machine inhumaine. »
« Et tant que tu n'auras pas compris ce "meurs et deviens", tu ne seras qu'un hôte obscur sur la terre ténébreuse. »
« Dès ma première enfance, une flèche de la douleur s'est plantée dans mon cœur. Tant qu'elle y reste, je suis ironique - si on l'arrache, je meurs. »
« Souffre, meurs ou guéris ; mais surtout vis jusqu'à ta dernière heure. »
« Je meurs chaque nuit pour ressusciter chaque matin. »
« Pendant quatre-vingts ans tu te sens en danger de mort et un jour tu avais raison, tu meurs. »
« La presse, comme la femme, est admirable quand elle avance un mensonge, elle ne vous lâche pas qu'elle ne vous ait forcé à y croire, et elle déploie les plus grandes qualités dans cette lutte où le public, aussi bête que le mari, succombe toujours. »
« La malhonnêteté d'un penseur se reconnaît à la somme d'idées précises qu'il avance. »
« L'imprévisible est dans la nature même de l'entreprise scientifique. Si ce qu'on va trouver est vraiment nouveau, alors c'est par définition quelque chose d'inconnu à l'avance. »
« J'avance dans l'hiver à force de printemps. »
« Pourquoi certains arrivent-ils toujours en avance ? Parce qu'ils pensent : "On ne m'aime pas assez pour m'attendre." Pourquoi d'autres arrivent-ils toujours en retard ? Parce qu'ils pensent : "On doit m'aimer assez pour m'attendre." »